Le jazz a un rôle diplomatique d’unification des peuples. Ce n’est pas nous qui le disons, c’est l’UNESCO, qui a choisi le 30 avril pour célébrer cette musique sans frontières qui carbure à la liberté.
Qui de mieux que les cinq énergumènes emmenés par la pianiste Anne Quillierpour symboliser ces notions-là ?
Avec « Hirsute », on voyage, on s’émeut, on savoure des vignettes musicales intensément cinématographiques.
Beaucoup d’images en tête donc, des mélodies qui s’entrecroisent, et sur scène des dialogues farouchement joueurs.
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